C’est un Festival qui grandit, un petit Festival qui au fil des ans fait sa place dans l’univers cinématographique français.
Honneur ce jour à cet évènement qui, à Biscarrosse jusqu’au 16 novembre, s’est traduit par une belle fréquentation et de savoureux échanges.
9ème Festival du Cinéma Québécois des plus ancrés désormais dans le paysage landais. Un succès que l’on doit à la ténacité et à l’efficacité d’une équipe menée par la Déléguée Générale Séverine Crampette et à la programmation judicieuse d’un certain Sylvain Garel.
Un doux rêve, une gageure précise Séverine (la Déléguée) qui rappelle que ce Festival pour certains ne devait pas passer le cap de quelques années d’existence...pour un cinéma Québécois peut-être moins sombre qu’il n’y parait. N’est-ce pas amis cinéphiles landais ?
Un succès partagé avec les partenaires et la ville de Biscarrosse, une nouvelle étape dans le développement de cet événement avec en 2024 un jury d’excellence composé d’Axelle Laffont, de Laurent Lucas ou encore d’Olivier Guignard. Arrêt sonore ce jour sur le documentaire qui était dans la semaine proposé par ce passionné d’histoire qu’est Félix Rose. Conscience politique et sociale, l’aboutissement d’une quête personnelle qui a accouché de ‘La bataille de Saint Léonard’. Il nous en a longuement parlé.
Merci Félix et Sylvain, à suivre ces prochains jours le témoignage de Pedro Ruiz, scénariste, producteur et réalisateur à qui l’on doit ‘Animal Tropical à Montréal’, un portrait de Pedro Juan Gutiérez.
Biscarrosse va-t-elle devenir un Pôle circassien ? Peut-être une suite logique de 'Rue des Etoiles'.
40, oui 40 ans d’amitié et d’échanges (40 comme notre département) entre Pombalins et Biscarrossais.
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